Harcèlements S*xuels à la Police Togolaise : Des Officiers arrêtés, Enquête en cours.

La Police nationale togolaise se retrouve actuellement secouée par une affaire de harcèlements sexuels et de promotion canapé, mettant en cause plusieurs responsables au sein de l’institution. Suite aux révélations, des officiers ont été arrêtés et l’enquête suit son cours pour élucider cette sombre affaire qui a plongé le corps dans une atmosphère pesante.

Depuis plusieurs semaines, des allégations de harcèlement sexuel ont éclaté au sein de la police nationale togolaise, mettant en lumière des pratiques répréhensibles impliquant certains responsables. Ces faits sordides comprennent le harcèlement des femmes policières ainsi que la promotion canapé, qui désigne l’octroi d’avantages professionnels tels que des avancements, des promotions ou des embauches en échange de faveurs sexuelles avec des personnes en position de pouvoir.

Selon les informations disponibles, les enquêteurs continuent leurs investigations, ce qui suscite une grande crainte au sein de l’institution. Ceux qui ont abusé de leur influence ou de leur position pour obtenir des faveurs sexuelles de collègues prient pour que leur conduite ne soit pas révélée et qu’ils échappent à une arrestation.

Une source anonyme au sein de la police nationale a dénoncé ces pratiques, soulignant que les femmes policières sont souvent réduites à leur sexe par certains de leurs collègues masculins et supérieurs hiérarchiques. Malgré les formations professionnelles qu’elles ont suivies, elles sont considérées comme étant uniquement disponibles pour des relations sexuelles. Même les femmes mariées ne sont pas épargnées par ces avances et ces harcèlements. Certaines se laissent aller dans l’espoir d’obtenir des avantages professionnels, ce qui crée un climat malsain au sein de l’institution.

Le directeur général de la police, contacté par la rédaction du journal « Liberté », minimise l’ampleur du problème, évoquant la proximité et la promiscuité entre les hommes et les femmes dans le cadre de leur travail. Il a déclaré qu’ils prennent des mesures préventives et qu’à ce jour, aucune plainte formelle n’a été déposée par les femmes concernées. Toutefois, il est important de noter que le manque de plaintes ne signifie pas que le problème n’existe pas ou qu’il n’est pas sérieux.

Cette affaire met en lumière des problèmes profonds au sein de la police nationale togolaise et souligne la nécessité d’une sensibilisation et d’une éducation plus poussées sur le harcèlement sexuel et les pratiques inappropriées en milieu professionnel. Il est essentiel que les victimes soient encouragées à se faire entendre sans crainte de représailles, afin que de telles pratiques puissent être éradiquées.

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